Le premier, Rudi Stephan, mort brutalement sur le front de l’Est alors qu’il incarne déjà, à 28 ans, l’un des talents les plus prometteurs du renouveau musical allemand. Louis Vierne, rongé par la souffrance et le remords d’avoir laissé son fils de 17 ans partir sur le front français, pour n’en jamais revenir. Et enfin, Lucien Durosoir, qui survit grâce à son talent de violoniste et revient avec la force créatrice d’écrire un Poème étonnamment lumineux.
Détails et commande sur le site des Éditions Hortus
Ce disque a été enregistré pour première publication dans le catalogue de l’exposition Mon violon m’a sauvé la vie, destin de musiciens dans la Grande Guerre (juin-décembre 2015) en co-production avec le Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux.
- Rudi Stephan (1887-1915), Musik für sieben Saiteninstrumente, pour quatuor à cordes, contrebasse, harpe et piano (1911).
- Louis Vierne (1870-1937), Quintette pour piano et cordes (1918).
- Lucien Durosoir (1878-1955), Poème pour violon, alto et piano (1920).
© Les services de la Rédaction d’Historiens & Géographes, 06/04/2016. Tous droits réservés.