Remarques générales
- Ne pas mettre d’abréviations dans une rédaction (pas de « ex : » pour amener un exemple), sauf pour les sigles qui seront définis une fois (DDHC, ONU…). Tout doit être rédigé.
– Ne pas utiliser les pronoms « Je » et « On », mais privilégier « Nous ».
– Faire des paragraphes. Chaque paragraphe commence par un alinéa (retrait à la marge de quelques carreaux). Laisser quelques lignes entre chaque paragraphe.
– Le devoir comprend une introduction, deux ou trois parties et une conclusion.
– Prendre le temps de soigner sa copie, de l’aérer, de se relire et de corriger les éventuelles erreurs.
L’analyse du sujet et la rédaction de l’introduction au brouillon
- Lire attentivement le sujet demandé.
– Utiliser systématiquement un brouillon pour l’analyse du sujet et la réalisation de l’introduction. Ce brouillon doit être glissé dans la copie.
– Recopier le sujet sur la feuille de brouillon.
– Analyser le sujet en le questionnant (Où ? Quand ? Contexte ? Quoi ? Qui ?). Définir les termes. Ne pas oublier les détails comme la ponctuation, les mots de liaison et l’utilisation du pluriel.
– Rédiger une introduction en trois temps :
- présenter le sujet.
- poser la problématique.
- Annoncer le plan. Chaque partie présente clairement et précisément une idée qui doit répondre progressivement au sujet. La formulation peut être la suivante : « Nous étudierons…, puis…, et enfin… » pour annoncer son plan.
La rédaction de la composition
– Recopier l’introduction au propre.
– Chaque partie présente une idée qui sera expliquée. Des exemples précis viennent illustrer l’argumentation. Il faut veiller à un équilibre dans la longueur des parties.
– Chaque partie est subdivisée en sous parties.
– Rédiger des phrases de transition entre les parties.
– Chaque partie apporte des connaissances : définitions, dates… Les représentations graphiques comme des schémas sont possibles.
– Des liens ou connecteurs logiques sont utilisés (parce que, car, en effet, de plus, par ailleurs, mais, cependant…) afin de rendre plus fluide le devoir et de donner du sens au développement.
– La conclusion permet de répondre à la problématique posée dans l’introduction et de dresser un bilan qui résume la composition. Elle peut commencer par « Pour conclure, … ». Une ouverture offre un prolongement au sujet développé dans le devoir. Elle peut faire l’objet d’une question sans que cela soit systématique. Ne pas insérer d’exemple dans la conclusion. Enfin, sa longueur ne doit pas être supérieure à celle d’une partie.
Bertrand Blandre pour Historiens & Géographes - 22/01/2015. Tous droits réservés.