Depuis septembre 2010, les professeurs d’Histoire-Géographie ont été confrontés à des remises en cause profondes de leur métier en lycée.
Comme membres de la communauté éducative, ils ont subi la mise en place d’une réforme du Lycée d’autant plus mal vécue qu’elle a été perçue comme improvisée et précipitée pour des raisons électorales. Comme professeurs d’Histoire et de Géographie, ils ont eu à faire face à une diminution importante des horaires disciplinaires, avec la disparition des modules en classe de Seconde, la disparition de nos disciplines parmi les matières obligatoires en Terminales S, les menaces de ne pouvoir ouvrir l’enseignement optionnel, puis le retour en Terminales S avec un volume horaire dérisoire et indécent. Enfin, comme fonctionnaires, ils ont vu fondre, comme leurs collègues des autres disciplines, tout espoir de mobilité professionnelle.
Lire la suite en pièce jointe (...)