L’APHG s’est battue depuis 2009 pour obtenir le rétablissement de l’enseignement obligatoire de l’Histoire et de la Géographie en Terminales scientifiques. Elle a tenu en janvier 2012 des Etats généraux pour refonder l’école et la citoyenneté républicaines qui ont eu un très grand retentissement. Le Manifeste issu des ces Etats généraux a eu un écho important.
L’APHG a dans le même temps alerté tous les parlementaires et les candidats à l’élection présidentielle sur la dégradation des conditions de l’enseignement de nos disciplines fondamentales pour l’exercice de la citoyenneté. Ce combat a été
couronné de succès. Le Président de la République et le Ministre de l’Education nationale ont acté le rétablissement de l’enseignement obligatoire en Terminale S.
Néanmoins subsiste le problème des horaires et des programmes. Pour les horaires ceux que propose le Ministère en 1ères et Terminales S sont indécents. Pour les programmes l’APHG a fait des propositions.
Ce combat ferme et constant de l’APHG mené dans le cadre de son indépendance à l’égard de tout pouvoir et groupe de pression lui attire régulièrement des attaques parfois nominales contre des responsables comme celle, calomnieuse dont Hubert Tison a été victime de la part de Laurence de Cock. De telles attitudes sont loin de servir la cause de l’Histoire-Géographie et de permettre un débat autour de ses contenus. L’APHG continuera ces tâches dans les principes qu’elle s’est fixés, loin des invectives et mises en accusations.
Si l’on veut le débat, il faut respecter un minimum de règles. Tel n’est pas le cas aujourd’hui.
Le Bureau national de l’APHG : Président Bruno Benoit, Co-Président Jacques Portes, Vice-Président Bernard Phan, Secrétaires généraux Béatrice Louapre-Sapir, Claude Ruiz, Hubert Tison, Trésoriers Max Auriol, Odette Lacueva.
Paris, le 18 octobre 2012