L’Histoire, la Géographie, l’Enseignement moral et civique, éléments centraux de la culture commune, tant générale que scolaire y ont toute leur place. En outre, l’enseignement de spécialité « histoire géographie, géopolitique et sciences politiques » permettra d’ouvrir de nouveaux horizons à de nombreux élèves. L’association regrette toutefois la disparition de l’épreuve terminale d’Histoire-Géographie.
Les différentes auditions et rencontres de l’APHG avec les instances du Ministère et la Commission Mathiot ont eu pour objectif de défendre la nécessité d’horaires suffisants et de conditions de travail permettant à nos élèves d’étudier dans la sérénité, de construire progressivement leurs apprentissages.
L’APHG rappelle son attachement indéfectible au caractère national du baccalauréat, à une notation juste et honnête des travaux des lycéens et son refus de toute forme de pression, d’où qu’elle vienne pour influencer la correction.
Elle veillera particulièrement à ce que :
- les nouveaux programmes soient à la fois intellectuellement stimulants, ouverts sur le monde, et facilitent l’acquisition de solides repères historiques et géographiques.
- les nouvelles épreuves permettent de prendre en compte la progressivité des apprentissages, l’acquisition de savoirs et la maîtrise des différents langages de nos disciplines.
- l’oral puisse être préparé dans les meilleures conditions matérielles par tous les élèves.
Le Bureau national de l’APHG.
Paris, le 16 février 2018.
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